Enfin une une étape TOURISTIQUE ! L'Uruguay est un pays génial pour le vélo mais le quidam touristicus peut se sentir un peu frustré.
Pas question d'atteindre notre destination avec un quelconque moyen de transport. Ce camion tout-terrain nous emmène à... |
... Cabo Polonio, village fait de bric et de broc (peu de briques mais beaucoup de brocs). |
L'école est à l'image du village : tout en bricolage. |
Une vue de notre hôtel. La magie du lieu et l'accueil sympathique font oublier que 10 touristes doivent s'entasser dans 50 m2. |
Les nostalgiques des épiceries à l'ancienne apprécieront le supermercado de Cabo Polonio (rappelez-vous de l'employé derrière son comptoir à qui il fallait dire ce que l'on désirait). Avec notre faible maîtrise de l'Espagnol, il nous faut bien 1/4 d'heure pour avoir 2 tranches de jambon et 100 grammes de fromage. |
Le phare de Cabo Polonio est bien joli mais ce n'est pas l'attraction principale du lieu (suspens...). |
Josée entourée de ses gardes du corps. |
Le soleil glisse doucement derrière le village endormi et les cyclistes qui ont 60 km dans les pattes vont aller se coucher. C'est l'ambiance de Cabo Polonio qui rend lyrique ! |
Serait-ce les dunes de Cabo Polonio qui nous ont attirés ? Que nenni ! Patience... |
L'homme seul face à l'immensité du désert ! En fait les dunes, bien qu'elles soient belles, ne sont pas de la dimension de celle du Pilat. |
Nous y voilà : ce sont les colonies de lions de mer qui justifient (à notre avis) de visiter Cabo Polonio. |
On a cru comprendre qu'il y avait des lobos (loups) et des leons (lions) mais notre savoir de zoologiste ne nous permet pas de vous en dire d'avantage. |
Nous sommes restés des heures à observer ces mammifères couchés à quelques mètres de nous. |
Vous avez l'image mais pas l'odeur ! |
Bye bye Cabo Polonio, le camion nous ramène à l'asphalte où nous attendent nos vélos. |
Bonjour,
RépondreSupprimerA voir le petit film, les Lions de Mer ont quelques "revendications" à faire passer entre eux.
André
Bêtes très agressives entre elles. Chaque déplacement déclenche des cris de contestation. On a l'impression que les lions de mer ne supportent pas leurs congénères alors qu'ils s'entassent tous aux mêmes endroits.
SupprimerOn retrouve ce phénomène dans nos villes, n'est-ce-pas ?
Bonjour,Heureux animaux qui sont beaucoup plus sages que les humains des villes (armes à feu, explosifs, armes blanches...). Pensons à autre chose, Noël approche.
RépondreSupprimerMerci pour ces découvertes.
Jean-Marie