Le Père Noël n'ayant rien mis dans nos chaussures de vélo, nous quittons Rio Grande pour poursuivre notre "remontée" du Brésil en étapes fatiguantes à cause d'un vent de face de 30 km/h. Heureusement le terrain est parfaitement plat entre la lagune Dos Patos (que nous n'apercevrons jamais) et l'océan Atlantique (que nous ne verrons pas plus !).

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Sur le bac entre Rio Grande et São José do Norte.

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La traversée dure 45 minutes, à priori sans danger, bien que ...

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Débarquement à São José sans encombre.

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Le Brésiliens utilisent de drôles deux roues !

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Vélo semi-couché bricolé par son propriétaire qui est un vrai cyclo-voyageur malgré son allure surprenante et son peu de bagages.

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Fin d'étape à Bujuru où la pousada Lucas est bien là où Google Maps nous l'avait indiquée. Nous sommes heureux de la trouver ouverte car nous n'aurions pas été capables de faire 70 km de plus jusqu'à la ville suivante.

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Entre Bujuru et Tavares les pinèdes se succèdent.

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La sève des pins (la résine) est récoltée pour produire l’essence de térébenthine par distillation.
Certains disent que des bonbons des Vosges à la sève de pin seraient produits clandestinement dans la région. D'autres prétendent qu'un trafic de retsina grec (à boire avec modération) aurait son origine au Brésil. Infox ?

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Tavares est un grand centre de production d'oignons.

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Camions chargé d'oignons manœuvrant pour passer à la bascule. Les 3 récolteurs descendront-ils avant la pesée ?

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Le mini "Centro historico" de Mostardas.

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Pause Coca à Mostardas.

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Champagne pour les fêtes ! Nous sommes plus raisonnables, avec la chaleur (29°C) nous préférons l'água com gás.


       
Joyeux Noël !
L'événement est pris au sérieux au Brésil. Cela signifie que ce 24 décembre est le dernier jour pour l'achat des cadeaux; les rues commerçantes sont donc bien animées. D'autre part le jour de Noël est jour férié et toute activité est sacrilège. Nous allons respecter la consigne et rester 3 jours à Rio Grande.

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Le très accueillant hôtel Atlântico nous ouvre ses portes pour 3 jours de farniente.

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L'océan n'est pas loin; la flottille de pêche de Rio Grande rassemble plusieurs dizaines de bâtiments.

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Un échassier peu sauvage.

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Les joueurs de Dames ont des tables-damier a leur disposition dans les jardins publics.

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La rue piétone General Bacelar de Rio Grande.

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Les mannequins n'ont pas de haut. Demain on enlève le bas !
Compris ? Non ! ... Demain c'est Noël et les magasins sont fermés... alors où qu'ils sont les mannequins ?

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A Rio Grande aussi le Père Noël va passer.

Rue piétonne de Rio Grande la veille de Noël.

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Désolé pour vous mais Rio Grande a aussi de beaux bâtiments (de 1870 à 1930) très photogéniques.

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Très agréable vue depuis les grandes fenêtres de notre chambre de l'hôtel Atlântico.

La vue sur le canal et la ville de Rio Grande depuis notre chambre d'hôtel.

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L'église Nossa Senhora do Carmo toute en stuc de ciment qui imite la pierre.

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Le "Paris Hotel" est toujours en activité.

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La Casa dos Azuleijos dont ...

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... les façades sont habillées de faïence bleue.

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La porte s'ouvre avec la clé ... numéro trois.

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Jolie petite maison coincée entre des immeubles modernes.

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La plus étroite maison que nous ayons jamais vue.


       
Nos premiers 1000 km ont été avalés par petites étapes et sans problème. Le Brésil est accueillant et nous nous y sentons bien tout de suite.

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A l'entrée d'Arrorio Grande une locomotive à vapeur rend hommage au Vicomte de Mauá, entrepreneur natif de cette petite ville.

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Méga courge.
Bonne surprise, nous trouvons plus de fruits et de légumes au Brésil qu'en Uruguay.

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Entre Pedro Osório et Pelotas, les rizières sont bien vertes. La région est une grande zone de production de céréales.

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Ligne droite parfaite de 25 km entre Arroio Grande et Pedro Osório.
Le vent nous est toujours favorable ce qui rend nos journées de vélo bien agréables.

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Nous avons la surprise de découvrir que Pelotas a un très beau centre historique.
L'ancien siège de la banque du Brésil.

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Le Museu do Doce (musée du bonbon ?). Les beaux bâtiments de Pelotas datent de la fin du XIXè S. et du début du XXè S.

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Le Mercado Central, très bien conservé.

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La cathédrale do Redentor étrangement couverte de végétation.

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Un sapin de Noël de fabrication locale devant les Casas Geminadas (les maisons jumelles).

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Belle ambiance dans les nombreuses rues piétonnes de Pelotas.

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La place Coronel Pedro Osório et ses aménagements pour Noël.

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Pour franchir le canal São Gonçalo le train passe sur ce pont dont la partie centrale peut monter pour laisser le passage aux bateaux.

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Le péage routier de Capão Seco n'arrêtent pas les motos et vélos.

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Chevaux entre Pelotas et Rio Grande.
Les averses sont nombreuses et nous avons pu toutes les éviter. Elles inondent de vastes étendues car nous sommes pratiquement au niveau de la mer..


       
Nous laissons l'Uruguay où nous avons passé 4 semaines très agréables pour entrer au Brésil.
Il va nous falloir apprendre quelques mots de survie en Portuguais : "Olá, por favor, obrigado, coma, beba, durma, é muito caro !" (bonjour, s'il vous plait, merci, manger, boire, dormir, c'est trop cher !).

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Rio Branco est la dernière ville d'Uruguay. Depuis Treinta y Tres nous avons pris le bus car le risque de pluie nous a dissuadé de faire une étape de plus de 100 km à vélo.

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Hasta luego Uruguay.

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Sur le pont International Barão de Mauá reliant l'Uruguay et le Brésil.
Cette fois nous n'oublions pas de faire tamponner nos passeports à la frontière.

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Le pont Barão de Mauá enjambe la rivière frontière Yaguaron.

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Nous pensions débarquer au Brésil dans une ville frontière un peu malfamée et nous avons la surprise de trouver une bourgade très accueillante où nous décidons de passer 2 nuits car la météo annonce encore de la pluie. Super, encore une grasse matinée !

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Le centre historique de Jaguarão est très bien conservé.

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Les maisons osent la couleur.

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Fête de fin d'année dans une rue de Jaguarão.

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Rouge et vert.

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Beaucoup de maisons jaunes.

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Le théâtre Esperança.

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Belle palette de couleurs à condition qu'elles soient gaies.

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Encore quelques façades.

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Beau travail de fer forgé.

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L'église Matriz do Divino Espirito Santo.

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Crêche sur la place du Docteur Alcides Marques.

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Le père Noël a troqué ses rennes pour une moto.

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Nous voyons encore pas mal de charrettes alors qu'elles ont pratiquement disparues en Uruguay.

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Maxime à méditer.

Un colibri (beija-flor en Portuguais) en pleine ville.