Nous venons d'entrer dans un pays où nous n'avions pas encore mis nos roues : le Paraguay. Nous retrouvons la langue espagnole qui nous est un peu plus familière que le Portugais du Brésil.

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La monnaie est le Guarani, il en faut 7000 pour faire 1 €. Nous sommes donc millionnaires et nous nous offrons des hôtels à 200000 PYG !

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Une seule route pour atteindre la capitale. Heureusement la circulation n'est pas dense et l'accotement confortable. La campagne est agréable, nous circulons dans une région agricole.

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Peu de camions le dimanche, l'autoroute entre les villes de "Juan Emilio O'Leary" et "Juan Eulogio Estigarribia" est déserte.

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36 °C à l'ombre. Nous faisons de petites étapes d'une quarantaine de km afin d'éviter la chaleur qui sévit dès 11h du matin.

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Toujours à cause de la chaleur, nous sommes sur la route avant le lever du soleil.


       
Ce sont nos derniers jours au Brésil. Nous avons le choix entre poursuivre le voyage au Paraguay ou rentrer en Argentine (nous sommes sommes juste à la jonction entre les trois pays). En attendant de prendre une décision nous jouons les touristes.

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La raison de notre venue à Foz do Iguaçu est de nous assurer que les chutes que nous avions vues en 2009 depuis l'Argentine sont aussi impressionnantes du côté brésilien.
Nous ne prenons pas position sur la rive la plus spectaculaire. Si l'envie vous prend de venir voir ces chutes alors visitez absolument les 2 rives en commençant par l'Argentine.

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Au pied de la Garganta del Diablo (la Gorge du Diable).

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Nous reconnaissez-vous ?

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80 m de haut pour la plus haute chute.

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L'Argentine est face à nous, sur la rive gauche de la rivière Iguaçu.

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Six millions de litres d’eau par seconde.

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Un ensemble de 275 chutes d’eau sur un front de 3 km de long.

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L'aménagement pour le cheminement des touristes permet de bien apprécier le site.

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Nous succombons à la mode des selfies.

Les chutes d'iguaçu en mouvement.

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Les chutes sont au sein d'un parc national. Les coatis pullulent au point d'en être envahissants.

Coatis joueurs.

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Le Combi Volkwagen de l'hôtel Belmont.

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Sur le fleuve Paraná le Brésil et le Paraguay ont construit en commun la centrale hydroélectrique d'Itaipu.

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L'électricité produite couvre 90% des besoins du Paraguay et 16% de ceux du Brésil.

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Le barrage d'Itaipu fait 7 km de long. La centrale a été mise en service en 1984 et, en terme de production cumulée, elle détient le record mondial.

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Jean-Robert serre la pince à l'Homme d'Acier.

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Encore au rayon fromage nous trouvons du Brie de France en conserve.


       
Nous venons d'arriver à Foz do Iguaçu (cliquez sur le logo "Google Maps" ci-dessus pour savoir où nous nous trouvons).
L'océan Atlantique est maintenant à 800 km d'ici. Une overdose de stations balnéaires et surtout d'autoroute nous a conduit a faire le trajet depuis Joinville en transport en commun.

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Nous restons plusieurs jours à Joinville pour organiser notre transfert pour Foz do Iguaçu.
Guilherme, triathlète polyglotte, nous accueille dans son hôtel.

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A la Cantine des Amis (Cantinho dos Amigos), la viande est à l'honneur.

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Le style des bâtiments de Joinville a certainement été influencé par les migrants allemands du début du XXèS.

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Le musée des Arts de Joinville occupe l'ancienne résidence d'Ottokar Doerffel construite à la fin du XIXèS. dans un style importé de Hambourg.

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Au musée de la bicyclette Jean-Robert ne parait pas enclin à changer son fidèle vélo pour une draisienne.

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Celui-ci semble un peu lourd.

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Le grand-bi n'a pas de porte-bagages... dommage !

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Pour nous rendre à Foz do Iguaçu, nous passons à la gare de chemin de fer de Joinville.

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Impossible d'acheter un billet. Personne au guichet pour nous dire si les trains prennent les voyageurs.

A regarder si vous n'avez rien d'autre à faire.

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A défaut du train pour Foz do Iguaçu, nous prendrons le bus.

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Il est 21h00 nous attendons le bus... mais nous ne savons pas encore que nous ne serons pas du voyage car les soutes sont pleines et nos vélos ne peuvent pas être embarqués.
A 22h00 nous serons en train de chercher un hôtel pour la nuit.

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Finalement, nous pouvons partir le lendemain et nous arrivons à Foz do Iguaçu après 12 heures passées dans un bus de nuit très confortable (en business classe svp !).

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Visite du zoo Bosque Garani, très bien tenu et surtout ombragé.

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Les tortues ne doivent pas figurer au menu des caïmans.

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Au Superercado Muffato on trouve du "bon" fromage. La vache française rit dans de nombreux pays; nous en avions vue au fin-fond du Laos.


       
Une page vient de se tourner : nous quittons la Côte Atlantique. Nous vous proposons les dernières images de l'océan car nous ne le reverrons plus avant de le survoler lors de notre retour en France au mois d'avril.

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La station balnéaire de Camboriú.

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Il fait très chaud ces jours-ci. La plage est bondée de touristes venant profiter de la fraîcheur du soir.

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Vendeurs ambulants.

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"Rendez-votre journée plus heureuse" annonce cette pub pour Mac'Do.

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2000 km ????

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Près de 2 mois de voyage pour faire ces 2000 km. C'est une petite performance dans le monde des cyclo-trekkers mais nous sommes fiers de l'avoir faite.

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La Praia do Porto à Ilhota. L'océan a enfin perdu sa couleur marronnasse.

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La baie de Penha a des parcs d'ostréiculture et de mytiliculture.

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La Praia da Cancela de Pehna.

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Il est 14h00, les plagistes qui ne sont pas à l'ombre sont dans l'eau.

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La flotte de pêche de Penha ramène poissons et crevettes.

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La Praia Grande de Penha.

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Adeus Oceano Atlântico !

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Nous nous retrouvons encore souvent (trop souvent !) sur l'autoroute. Pour la traversée de ce tunnel, un passage est aménagé pour les cyclistes.

La Liberté veille sur l'autoroute qui mène à Joinville.