Visite de Montevideo, capitale de l'Uruguay.

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Vue sur la baie et le port de Montevideo depuis la terrasse de notre hôtel.

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La yerba mate est une caractéristique de l'Uruguay. Il faut avoir son thermos avec soit pour ajouter régulièrement de l'eau chaude sur les feuilles. La consommation normale est de 1 à 2 litres par jour, à boire avec la cuillère qui fait office de paille.

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Le mate est le récipient dans lequel infuse la yerba.

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Les restaurants du Mercado del Puerto proposent des plats gargantuesques de viande grillée.

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Café de 1907 avec sa façade d'origine en céramique.

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Fidèle camion pour la livraison de fruits et légumes (sur la place Zabala).

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Vélo + moteur = vélomoteur.

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L'ambassade de France occupe un beaux bâtiment de style néoclassique.

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Au cours de la nuit l'ambassade de France a été la cible de manifestants. Apparemment la contestation était liée au G20 en cours à Buenos Aires et, peut-être, en relation avec le mouvement des "Gilets Jaunes" en France.


       
Les premières étapes nous permettent de prendre nos marques en Uruguay : s’habituer au taux de change, noter les horaires d'ouverture des commerces, trouver que nos vélos de 30 kg sont bien lourds, imprimer la forme de la selle là où vous vous imaginez, ...

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Au sortir de Colonia del Sacramento, les palmiers nous accompagnent sur des dizaines de kilomètres.

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Rencontre de Nathalie Courtet qui termine 18 mois de voyage en solitaire depuis Terre-Neuve (40 000 km !). La secte des "vélos couchés", dont elle fait partie, rassemble les cyclo-voyageurs qui prennent soin de leur fondement.
Par curiosité, allez voir son site http://www.nathaliecourtet.fr/.

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Toutes les petites villes d'Uruguay sont bâties sur le même modèle (ici Rosario) : rues à angles droits tous les 100 m, maisons de plain pied de style hispanique, place centrale ombragée sur laquelle donne l'église catholique.

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L'église Nuestra Senora del Rosario et la place centrale qui s'anime dès la tombée de la nuit.

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Aperçu de la route que nous rencontrons : pas de circulation, 4 voies et un accotement confortable, pas une côte en vue.
Malgré tout on s'ennuie un peu et, après 20 km de plat et de ligne droite, on rêve d'un petit virage en grimpette.

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Arrêt pour faire le plein.

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Quand un cycliste rencontre un autre cycliste, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoire de cyclistes.
Mais pas avec celui-ci qui n'est pas très loquace. Comme il ne nous faisait pas progresser en Espagnol, on l'a grillé au démarrage !

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La pas belle église de Santa Lucia. Elle ne mérite pas une photo mais vous saurez que tout n'est pas pittoresque en Uruguay.

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Le cimetière de Santa Lucia où les morts sont empilés dans de petites boîtes.

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José Gervasio Artigas est omni-présent en Uruguay (père de la Nation).
Les passionnés d'histoire peuvent an apprendre plus avec Wikipédia.

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Voici une fleur d'hibiscus pour vous rappeler que l'hiver ne sévit pas partout en ce moment.


       
Une rapide traversée du Rio de la Plata en bateau et nous sommes en Uruguay.

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Colonia del Sacramento est juste en face de Buenos Aires.

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Les Remblas de las Americas longent le rio de la Plata coloré par les sédiments venant de la cordillère des Andes et de la partie sud de l'Amazonie.

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Les jacarandas sont encore en fleurs.

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La ville de Colonia del Sacramento est classée au patrimoine mondial de l'humanité.

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Les rues pavées du centre historique nous "tannent" les fesses dès nos premiers tours de roue.

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Les vielles voitures sont là pour le décor.

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La Plaza de Toros, aujourd'hui en ruine, était l'arène des corridas au début du XXè S.

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Quelques belles maison modernes, certainement propriétés de riches Argentins.

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Pour réviser votre espagnol, voici une déclaration de Mafalda (du dessinateur argentin Quino).


       
Nous voici à Buenos Aires, début de notre séjour cyclotouriste de près de 5 mois en Amérique du Sud. Nous étions venus en Argentine en 2010 et 2013 aussi nous n'avons pas l'intention de nous attarder dans la capitale que nous avons déjà visitée.

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L'Obélisque de Buenos Aires.

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La plaza de Mayo.

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Manisfestation devant la Casa Rosada (palais présidentiel).

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Une autre manifestation : des milliers d'infirmiers défilent dans le calme. Pas de débordement ni de forces de l'ordre en vue.

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Le navire-musée Frégate "Président Sarmiento".

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Le Puente de la Mujer.

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Le Centro Naval, typique de l'architecture fin du XIXè siècle de Buenos Aires.

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Vue depuis notre hôtel.

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L'habituel montage des vélos dans la chambre d'hôtel.


       
Dans une semaine le voyage commence. British Airways nous fera traverser l'océan Atlantique. Le vol nous fera couper le Tropique du Cancer, l'Equateur et le Tropique du Capricorne.
En attendant nous fignolons nos bagages.

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Les vélos ont été démontés.

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Compactage maximum.

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Une fois protégés pas quelques feuilles de carton et une grande bâche, nos vélos devraient arriver en bon état.
N'ayant droit qu'à un seul bagage de 23 kg en soute, toutes nos affaires sont "encartées" dans les vélos démontés.