28 novembre 2018 - Santa Lucia (Uruguay)

Les premières étapes nous permettent de prendre nos marques en Uruguay : s’habituer au taux de change, noter les horaires d'ouverture des commerces, trouver que nos vélos de 30 kg sont bien lourds, imprimer la forme de la selle là où vous vous imaginez, ...

Au sortir de Colonia del Sacramento, les palmiers nous accompagnent sur des dizaines de kilomètres.

Rencontre de Nathalie Courtet qui termine 18 mois de voyage en solitaire depuis Terre-Neuve (40 000 km !). La secte des "vélos couchés", dont elle fait partie, rassemble les cyclo-voyageurs qui prennent soin de leur fondement. Par curiosité, allez voir son site http://www.nathaliecourtet.fr/.

Toutes les petites villes d'Uruguay sont bâties sur le même modèle (ici Rosario) : rues à angles droits tous les 100 m, maisons de plain pied de style hispanique, place centrale ombragée sur laquelle donne l'église catholique.

L'église Nuestra Senora del Rosario et la place centrale qui s'anime dès la tombée de la nuit.

Aperçu de la route que nous rencontrons : pas de circulation, 4 voies et un accotement confortable, pas une côte en vue. Malgré tout on s'ennuie un peu et, après 20 km de plat et de ligne droite, on rêve d'un petit virage en grimpette.

Arrêt pour faire le plein.

Quand un cycliste rencontre un autre cycliste, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoire de cyclistes. Mais pas avec celui-ci qui n'est pas très loquace. Comme il ne nous faisait pas progresser en Espagnol, on l'a grillé au démarrage !

La pas belle église de Santa Lucia. Elle ne mérite pas une photo mais vous saurez que tout n'est pas pittoresque en Uruguay.

Le cimetière de Santa Lucia où les morts sont empilés dans de petites boîtes.

José Gervasio Artigas est omni-présent en Uruguay (père de la Nation). Les passionnés d'histoire peuvent an apprendre plus avec Wikipédia.

Voici une fleur d'hibiscus pour vous rappeler que l'hiver ne sévit pas partout en ce moment.